SFR, premier opérateur à avoir lancé la 3G en France en novembre 2004, conforte son avance en ouvrant aujourd’hui le service 3G+ dans plusieurs villes et agglomérations de France et en lançant les premières offres commerciales 3G+ pour les entreprises et les clients grand public.

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Dès maintenant, SFR met en service la fonction HSDPA (High Speed Downlink Packet Access) sur son réseau 3G dans 5 villes et agglomérations et couvre ainsi en 3G+ Lyon, Rennes, Nantes, Saint-Nazaire et Dijon.
SFR couvrira progressivement en 3G+ d’autres grandes villes françaises : Paris, mi-juin 2006, l’Ile de France, en juillet 2006. 38% de la population sera couverte en 3G+ fin septembre 2006. Plus de 70% de la population sera couverte en 3G+ à horizon 2007/2008, soit une couverture équivalente à celle de la 3G à cette date.
Basée sur la technologie HSDPA, la 3G+ est une évolution logicielle du réseau 3G, qui permet une augmentation des débits pour le téléchargement et le transfert de données, jusqu’à 1,8 Mbit/s dès 2006 puis 3,6 Mbit/s en 2007.

SFR met en service la fonction HSDPA sur son réseau 3G en collaboration avec ses deux fournisseurs radio : Siemens et Nokia. La mise en œuvre de l’HSDPA sur le réseau 3G de SFR consiste en une mise à niveau logicielle de l’ensemble des maillons du réseau, sans changement d’infrastructures. SFR compte investir une centaine de millions d’euros dans l’opération.

La société Edixia basée à Vern-Sur-Seiche (Ille Et Vilaine), vient d’être reprise par MSC, nous apprend l’Usine Nouvelle. MSC, implantée près de Lyon, est spécialisée dans les systèmes de vérification des récipients en verre sur les lignes de production. Edixia, spécialiste de la vision industrielle, conçoit des cartes électroniques d'analyse d'images qu'elle commercialise avec les outils de traitement et les capteurs, ainsi que des équipements intégrant mécanique, automatisme et fonction vision. En avril 2005, Edixia avait racheté le Hongrois Falcon-Vision. Spécialisé également dans le domaine de la vision industrielle, Falcon-Vision est implanté à Budapest (33 personnes pour 2,5 M€ de CA). De son côté, Edixia a un effectif de 83 salariés et a réalisé un chiffre d’affaires de 10,8 millions d’euros en 2004 dans les secteurs de l’automobile, de l’agroalimentaire et de la pharmacie.

Actielec, spécialisé dans les systèmes de recueil, de traitement et de transfert d’informations, sur les marchés du diagnostic électronique automobile, des systèmes embarqués pour bus et cars, de la transmission hertzienne, a enregistré au 1er trimestre un chiffre d’affaires de 46,8 millions d’euros, en baisse de 9% par rapport au 1er trimestre 2005. La société toulousaine reste confiante dans sa capacité à générer un chiffre d’affaires 2006 conforme à ses objectifs, entre 225 et 231 M€.

Pour son premier semestre fiscal, le groupe Lacroix affiche un chiffre d’affaires de 101,7 millions d’euros, en progression de 11,17% par rapport au 1er semestre de l’exercice précédent. La branche sous-traitance électronique du groupe affiche un CA semestriel de 45,4 M€, en progression de 9,51%. Par ailleurs, pour la deuxième année consécutive, la division automobile d’Eaton, vient de décerner le certificat d’excellence à Lacroix Electronics, la filiale polonaise de Lacroix Electronique. Ce prix récompense la performance qualité pour avoir atteint 0 ppm en 2005.

Egide publie ce matin une perte nette de 7,9 millions d'euros au titre de l'exercice clos le 31 décembre 2005, contre une perte nette de 8,9 millions d'euros à l'exercice précédent. La perte opérationnelle s'établit à 8,2 millions d'euros, contre une perte opérationnelle de 9,3 millions d'euros à l'exercice 2004. Le fabricant français de boîtiers hermétiques a connu une croissance de son chiffre d'affaires de 12,4 % sur l'exercice 2005, à 21,7 millions d'euros, liée à la réussite de la diversification. Le secteur militaire et spatial a représenté 40% du chiffre d'affaires 2005, les secteurs télécommunications et industriels se partageant à égalité (30%) le reste de l'activité. La perte nette du groupe sur l'exercice s'établit à 4,9 millions d'euros, soit 23 % du chiffre d'affaires, contre 8,9 millions d'euros en 2004 (46 % du chiffre d'affaires). Sur le premier trimestre 2006, Egide a enregistré une croissance purement organique de son chiffre d'affaires de 16 %, à 5,37 millions d'euros (contre 4,63 millions d'euros au premier trimestre 2005).