"Il n'est pas surprenant que les allégations contre nous proviennent en grande partie de prestataires fixés sur le 2G qui ont le plus à perdre de la compétition accrue au niveau du 3G créée par l'offre répandue de licences par Qualcomm et par son offre de technologies, jeux de puces et de logiciels développant le 3G.

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Les nombreux nouveaux entrants sur le marché des téléphones portables, travaillant en coopération avec Qualcomm, menacent les parts de marché de ces fabricants inflexibles et de leurs fournisseurs de composants. Nous serions heureux de pouvoir démontrer ces faits au cours d'un processus ouvert et public. "

Paul E. Jacobs, p-dg de Qualcomm, dans un communiqué de presse, qui répond ainsi aux accusations proférées ce week-end par Broadcom, Ericsson, NEC, Nokia, Panasonic Mobile Communications et Texas Instruments qui ont saisi la Commission européenne afin de stopper " la pratique anticoncurrentielle de Qualcomm dans la délivrance de licences concernant les brevets essentiels de la 3G ". Ces sociétés prétendent notamment que Qualcomm empêche d'autres fabricants de jeux de circuits d'entrer sur le marché pour faire baisser les prix.