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Le distributeur américain Avnet vient de publier un CA trimestriel de 3,27 milliards de dollars, en hausse de 25,7% sur un an, pour un bénéfice net de 24,9 M$. A périmètre comparable, c’est-à-dire en tenant compte du chiffre d’affaires de Memec dans le CA d’il y a un an, la progression d’activité atteint 2,6%. Pour la division composants électroniques, le CA trimestriel atteint 2,11 milliards, soit sur une base comparable (avec l’intégration de Memec), une hausse séquentielle de 4,8% et un recul de 1,8% sur un an. Pour le trimestre en cours, Avnet vise un CA « composants » compris entre 2050 et 2100 M$.
Grâce aux mémoires flash, Toshiba est l’un des rares fabricants japonais à tirer son épingle du jeu à l’occasion de la publication de ses résultats à mi-parcours. Son bénéfice net trimestriel a progressé de 46%, à 23,6 milliards de yens (204 M$) pour un CA en hausse de 4,4%, à 1601 milliards de yens. Sony, Pioneer ou Sanyo prévoient en revanche une perte nette pour l’ensemble de l’exercice annuel. Pour Sony, engagé dans une vaste et coûteuse restructuration, ce sera même la première perte depuis 11 ans ! Quant à NEC Electronics, la filiale composants de NEC (environ 70% du capital) va changer de président pour cause de pertes récurrentes.
Le fabricant américain de circuits intégrés Conexant est sorti du rouge à l’occasion du dernier trimestre en dégageant un bénéfice net de 50,1 M$ sur un CA de 214,9 M$, en hausse séquentielle de 9%. Sur l’ensemble de l’exercice annuel, l’Américain affiche toutefois un chiffre d'affaires de 722,7 millions de dollars, en baisse de 20%, pour une perte nette de 176 M$ contre 544,6 M$ lors de l'exercice précédent.
Maxim affiche un CA trimestriel de 424,4 M$, en hausse séquentielle de 6%, pour un bénéfice net de 105,4 M$. Les prises de commande du trimestre ont progressé séquentiellement de 15%, à 459 M$.
Au cours des 9 premiers mois de l’exercice 2005, le groupe français Lexibook a réalisé un chiffre d’affaires de 28,3 M€. Ce niveau d’activité permet au groupe d’être confiant quant à la réalisation de son objectif annuel de croissance de 8 % du chiffre d’affaires.
Le Conseil général des Hauts-de-Seine a décidé de s'engager dans la réalisation d'un réseau de télécommunication à très haut débit, à travers un réseau de fibre optique neutre et ouvert à tous les opérateurs. Le très haut débit propose des performances inégalées, 800 mégabits par seconde, pour les entreprises, les établissements publics et les particuliers. Les usages du très haut débit sont multiples : visioconférences, télétravail, e-learning, télévision, vidéos à la demande, téléphonie... Pour concrétiser cet objectif, un vaste plan de câblage est déjà lancé dans toutes les salles de classe des 92 collèges publics des Hauts-de-Seine. Les travaux devraient se terminer fin 2006, début 2007. Le département espère que ce projet aura un effet entraînant sur l'ensemble de l'Ile de France.
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