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Tlcoms-Informatique-Carte puce-Grand public-Dfense-Aronautique-Industriel-Automobile : 45 actus.
Le marché des étiquettes électroniques va tripler en quatre ans
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Véritable serpent de mer de l’industrie électronique, le marché de l’identification RF va-t-il enfin décoller ? Si l’on en croit une étude publiée par WDRG (Wireless Data Research Group), le marché mondial des matériels, logiciels et services RFID devrait croître de 23% par an en moyenne entre 2003 et 2007. En quatre ans, il passerait ainsi de 1 à 3 milliards de dollars, dont plus de 40% pour le seul marché américain. L’étude américaine souligne que la gestion des stocks et de la chaîne d’approvisionnement constituent les débouchés les plus prometteurs de l’identification électronique.
Dans le détail, le marché des transpondeurs devrait croître de 18% par an pour atteindre près de 1 milliard de dollars en 2006. Celui des services de développement et d’implantation d’applications RFID devrait atteindre 986 M$ en 2007. Enfin, WDRG souligne qu’en dépit de la baisse des prix des étiquettes électroniques liée à l’adoption de standards ouverts et à l’amélioration des procédés de fabrication, le marché des transpondeurs UHF devrait croître de 23% jusqu’en 2007.
Ajoutons que lors d’une conférence sur les semiconducteurs organiques qui s’est tenu récemment en Grande-Bretagne, Tetra Pak, le spécialiste du conditionnement des boissons, a indiqué étudier des étiquettes électroniques polymères, rapporte notre confrère Electronics Weekly. Réalisées par impression directement sur le carton de l’emballage, elles permettraient d’abaisser le coût de gestion des stocks de 5 à 10%.
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L’Europe planifie l’abandon de la diffusion en analogique
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L’Europe se mêle de tout. Pour preuve, la Commission européenne vient d’adopter hier une communication sur le passage au numérique. Ce texte constitue un guide pour aider les États membres dans le passage à la radiodiffusion et la télévision numérique, puis finalement de l'abandon de la transmission analogique, tout en voulant respecter les préoccupations du consommateur. Beau programme !
« Nous n'envisageons pas de mesures contraignantes, comme une date unique pour l'abandon de la télévision analogique dans l'ensemble de l'UE ou forcer les consommateurs à acheter des téléviseurs numériques », a souligné Erkki Liikanen, commissaire européen chargé des entreprises et de la société de l’information. « Étant donné que les progrès en matière de télévision numérique varient considérablement entre les États membres, le taux de pénétration dans les foyers allant de 3 % à 40 %, une politique unique au niveau de l'UE serait inadéquate. Mais nous voulons veiller à ce que les politiques nationales de migration donnent aux consommateurs des incitations pour passer volontairement à la télévision numérique.»
Le plan d'action eEurope 2005 invite les États membres à publier, d'ici à la fin de 2003, leurs plans en matière de passage au numérique, y compris une éventuelle date pour l'abandon de la télévision analogique. « Les consommateurs disposeront ainsi d'informations suffisantes pour se familiariser avec toutes les possibilités des nouveaux services de télévision numérique et pour acquérir l'équipement nécessaire », souligne Erkki Liikanen.
Bruxelles ouvre également le débat sur les possibilités de réutilisation du spectre récupéré après l'abandon de la radiodiffusion analogique. « Sur ce point, les avis des acteurs de l'industrie divergent et il sera important d'établir une approche qui tienne compte à la fois du potentiel économique de la libération de spectre et d'autres objectifs d'intérêt public », conclut le commissaire.
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PC portables : HP et Dell creusent l’écart
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Avantage aux Américains ! Dans la compétition qui opposent les différents fournisseurs de PC portables, -le segment de marché de la micro-informatique qui croit le plus vite-, les fabricants américains sont en train de tailler des croupières aux industriels japonais. L’information, qui s’appuie sur une étude d’IDC, fait les gorges chaudes de la presse taïwanaise. Car derrière les grands constructeurs américains se cachent bien souvent des grands noms de la co-traitance taïwanaise. A contrario, les Japonais font beaucoup moins appel aux sous-traitants et n’arrivent plus à être compétitifs en matière de prix de revient face aux Américains.
HP et Dell sont en effet en train de se livrer à une guerre des prix sans merci pour écrémer le marché des notebooks. Contrairement aux PC de bureau, le marché des portables est en effet concentré dans très peu de mains et la marque du constructeur joue un rôle déterminant dans les décisions d’achat.
Ainsi, selon une étude d’IDC rapportée par DigiTimes, HP s’est emparé de 17,3% du marché mondial des notebooks au 2e trimestre, contre 15,4% pour Dell, 11,1% pour Toshiba, 9,7% pour IBM, 6,1% pour Fujitsu-Siemens et 5,4% pour Acer. HP et Dell pourraient, sur leur lancée, vendre chacun plus de 6 millions de notebooks cette année (soit 35% du marché à eux deux), contre environ 4,5 millions d’unités l’an passé.
En rassemblant les parts de marché des Japonais (Toshiba, Fujitsu-Siemens, Sony et NEC), l’ensemble ne dépasse pas 26,4% au deuxième trimestre contre plus de 35% début 2002. La solution : faire appel aux co-traitants taïwanais ? |
TV interactive : Thomson cède MediaHighway à NDS
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Fin septembre 2002, Vivendi Universal, à la recherche d’argent frais, cédait Canal+ Technologies pour 190 millions d’euros au groupe Thomson. Moins d’un an plus tard, le groupe d’électronique grand public aura totalement revendu son acquisition, empochant au passage une confortable plus-value.
Ce week-end, le groupe français a en effet dévoilé un accord avec NDS, filiale du groupe de médias de Rupert Murdoch, pour lui céder, pour 60 M$, MediaHighway, le moteur d’interactivité qui équipe notamment les décodeurs de Canal +. Début août, c’était au Suisse Kudeklski que Thomson cédait, pour 240 millions de dollars, Mediaguard, l’activité d’accès conditionnel de Canal + Technologies qui emploie 200 personnes. Troisième fournisseur mondial de systèmes d’accès conditionnel, Mediaguard équipe 10 millions de décodeurs pour un chiffre d’affaires qui devrait dépasser 60 millions d’euros cette année.
MediaHighway, l’activité logicielle de Canal + Technologies spécialisée dans les solutions pour la télévision interactive (300 personnes), est encore déficitaire. Ce qui explique un prix de cession beaucoup moins important que celui de Mediaguard. Avec NDS, le moteur d’interactivité accède à un parc potentiel de 13 millions de décodeurs. Thomson souligne d’ailleurs un accord plus large avec NDS : les deux parties tenteront d’exploiter au mieux les synergies entre les décodeurs, les modems et les équipements de diffusion du groupe français et les logiciels de l’Américain.
Par ailleurs, un accord de fourniture d’équipements (réseaux de diffusion, appareils d’enregistrements, services de post-production, etc) signé avec News Corp, la maison-mère de NDS, devrait garantir au groupe français plusieurs centaines de millions d’euros de commandes par an.
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Sharp en grande forme semestrielle
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Rien de surprenant quand on connaît le positionnement du fabricant japonais, présent à la fois sur le marché des téléviseurs à écran plat et sur celui des téléphones mobiles avec capteur d’images intégré, toujours est-il que Sharp vient d’annoncer des prévisions de résultats semestriels remarquées.
Ainsi, son bénéfice net pour la période d’avril à fin septembre devrait-il progresser de 18%, à 27 milliards de yens (près de 210 millions d’euros). Son chiffre d’affaires semestriel a crû, quant à lui, de 12%, à 1090 milliards (8,4 milliards d’euros). Même s’il s’est fait prendre la première place par LG.Philips LCD pour la fourniture d’écrans LCD pour téléviseurs, Sharp contrôle encore plus de la moitié du marché des téléviseurs LCD (évalué à plus de 3 millions d’unités cette année) ; de même, il est très présent sur le marché des photophones, qui pourrait représenter 65 millions d’unités cette année.
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Alstom sauvé ! … mais avec des commandes en chute de 25%
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Les dirigeants d’Alstom ne doivent finalement pas être si mécontents des remontrances de la Commission européenne, même si l’intransigeance de Mario Monti, en charge de la concurrence, a failli faire capoter le plan de sauvetage du groupe. Le plan de refinancement d’Alstom a en effet été augmenté, passant de 2,8 à 3,2 milliards d’euros. Le renforcement des fonds propres du groupe va s’élever à 1,2 milliard d’euros, réparti entre 900 millions par émission d’obligations remboursables en actions et 300 M€ d’augmentation de capital souscrite par l’Etat, du moins si Bruxelles l’y autorise. S’y ajoutent 500 M€ d’obligations à long terme et 1500 M€ de prêts.
Pour autant, Alstom n’est pas tiré d’affaire. Tout d’abord parce que la publicité autour de ce feuilleton politico-financier a nui à la crédibilité du conglomérat face à ses clients. Les prises de commandes du groupe industriel ont en effet chuté de 25%, à 7 milliards d’euros, lors de son premier semestre fiscal (avril à fin septembre) par rapport à il y a un an. Partant, Alstom précise que sa marge opérationnelle devrait à peine dépasser 1% de son chiffre d’affaires pour une perte nette d’environ 500 millions d’euros.
Le p-dg du groupe a par ailleurs prévenu que la restructuration de l’entreprise risquait d’être douloureuse, avec son lot de suppressions d’emplois à la clé (déjà 5000 suppressions de postes en Europe avaient été programmées avant l’été). Quant à la vente de l’activité Transmission & Distribution à Areva, elle devrait être finalisée prochainement pour 950 millions d’euros. Ce désengagement portera à 2,5 milliards d’euros le total des cessions conclues depuis un an. D’autres actifs à céder devraient porter ce total à 2,7 milliards d’euros, indique Alstom dans le communiqué qu’il a publié hier soir.
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Intel dessine le PC de demain
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Comme les défilés de haute-couture, l’Intel Developer Forum permet de sentir les tendances des créateurs de la micro-informatique, même si les projets des uns et des autres ne se concrétiseront pas avant plusieurs années. La manifestation pluriannuelle du numéro mondial des semiconducteurs, dont une édition se déroule actuellement aux Etats-Unis, a ainsi permis de mélanger court terme et long terme.
Pour le court terme, Intel commercialisera d’ici 1 à 2 mois un Pentium 4 spécifique pour les jeux vidéo fonctionnant à 3,2 GHz. Après la technologie Centrino pour les communications sans fil, l’heure est donc à la segmentation par application de marché pour l’offre de microprocesseurs du numéro un mondial. A noter également pour le court terme que tous les fournisseurs de mémoires de premier plan ont mis un point d’honneur à présenter lors de la manifestation des Drams DDR2, qui équiperont les futurs PC et serveurs haut de gamme.
Plus intéressantes sont les promesses à long terme du numéro un mondial. Tout d’abord, Intel souligne qu’il se vend chaque jour 76 000 cartes Wi-Fi dans le monde et qu’en 2010, il y aura 2,5 milliards de terminaux mobiles combinant communications et puissance de traitement des PC les plus évolués d’aujourd’hui. Intel ne relâchera donc pas ses efforts sur la technologie Centrino, avec notamment la mise à disposition de jeux de circuits tri-mode 802.11a/b/g dans le courant du 1er semestre 2004.
Ses autres préoccupations ont trait à la sécurité avec la mise à disposition dans deux ou trois ans d’une technologie, baptisée LaGrande, pour protéger les PC de l’attaque de virus. Avec « Vanderpool », Intel fera également une incursion, non pas dans le milieu du cyclisme, mais dans celui du multi-environnement pour faire tourner les PC sous deux OS différents. On n’est pas très loin du dopage. Autre tendance lourde, la mise à disposition de technologies permettant au PC de diffuser, sans fil, des contenus multimédia sur le téléviseur du salon ou la chaîne Hi-Fi.
Côté technologies de production, Intel, qui a présenté ses premiers échantillons de circuits en technologie 65 nm, prévoit d’introduire des puces 45 nm en 2007 et des circuits 22 nm en 2010. D’ici là, bien des modes auront déjà trépassé.
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Toshiba et Samsung créent une JV dans le stockage optique
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Samsung a décidément une passion pour les groupes japonais : à l’heure où il négocie une alliance avec Sony dans les écrans plats, le Coréen en profite pour créer une société commune avec Toshiba. Ensemble, les deux entreprises vont créer une joint venture qui rassemblera leurs activités de sous-systèmes de stockage optique par CD (lecteurs CD-Rom, DVD-Rom, etc). La co-entreprise sera détenue à 51% par Toshiba et à 49% par Samsung.
Pour les deux partenaires, cette alliance se justifie par l’érosion des prix qui ne peut être compensée que par de plus grands volumes. Sur le marché des dispositifs de stockage optique , les tendances sont à la miniaturisation, à l’augmentation des vitesses de lecture et à la transition vers des lecteurs-enregistreurs de DVD. Le chiffre d’affaires de la co-entreprise devrait être de 200 milliards de yens (1,56 milliard d’euros). Selon la presse nippone, elle se situerait ainsi d’emblée au deuxième rang mondial avec environ 20% du marché.
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Plus que cinq jours pour sauver Alstom
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La commission européenne a rejeté hier le plan de sauvetage d’Alstom et a lancé un ultimatum aux pouvoirs publics français pour proposer une solution alternative d’ici au 22 septembre. Dans un communiqué peu chaleureux, la Commission souligne une « dernière chance pour la France avant de faire face à une injonction de suspension ». De son côté, le ministère des finances a répliqué par une déclaration moins belliqueuse, indiquant « qu’il poursuivra ses négociations avec le souci de trouver une solution qui permette de sauver une grande entreprise européenne et ses emplois ».
Que reproche Bruxelles au plan de sauvetage d’Alstom ? Pour qui n’est pas familier du dialecte bruxellois, difficile d’y voir clair. En fait, la Commission interdit à la France de « mettre à exécution des mesures qui impliqueront automatiquement et de manière irréversible une participation de l’Etat aux fonds propres du groupe Alstom sans approbation préalable de la Commission selon les règes en matière d’aides d’Etat ». Autrement dit, Bruxelles a voulu sanctionner le passage en force du gouvernement français. Rappelons que plan de sauvetage d’Alstom, dévoilé début août pour éviter le dépôt de bilan d’un groupe industriel qui emploie 26 000 salariés en France, prévoyait une prise de participation de l’Etat à hauteur de 31,5%, grâce à un injection de 300 M€, pour un plan de refinancement total de 3,5 milliards, plus ou moins cautionné par les pouvoirs publics.
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Hitachi enrôle un Turc pour assembler ses téléviseurs plasma
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Ce week-end, le Nihon Keizai Shimbun a révélé un projet de réaménagement de la stratégie d’Hitachi concernant la production à l’étranger de ses téléviseurs à écran plasma. Actuellement, Hitachi réalise lui-même l’assemblage de ces téléviseurs à partir d’écrans fournis par Fujitsu Hitachi Plasma Display. Mais le Japonais aurait décidé de confier cette tâche à des partenaires étrangers. Ainsi, pour le marché européen, Hitachi va externaliser sa production de téléviseurs plasma à un fabricant turc de produits bruns, dont le nom n’a pas été révélé. Le Japonais ambitionne de vendre 50 000 récepteurs de ce type cette année sur le Vieux Continent.
En Chine, Hitachi va également s’appuyer sur un partenaire local, avec l’objectif d’écouler 5000 téléviseurs plasma. Pour le marché américain (30 000 unités escomptées), Hitachi fera appel à une filiale au Mexique. Au total, y compris au Japon, Hitachi compte vendre 200 000 téléviseurs à écran plasma d’ici à la fin de son exercice fiscal annuel.
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Téléphonie et télévision sur ADSL débarquent en France
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L’ADSL tisse sa toile, répondant à tous les usages de l’homo connecticus. Après l’accès Internet à haut débit, qui a déjà séduit plusieurs millions de surfeurs dans l’Hexagone, l’ADSL se propose peu à peu de devenir le mode de diffusion idéal pour la télévision et le téléphone. En témoignent les offres des opérateurs qui fleurissent dans ces domaines depuis la rentrée. Ainsi, emboîtant le pas au fournisseur d’accès à Internet Free, LDCom a-t-il annoncé hier une offre de téléphonie sur ADSL particulièrement attractive. Baptisée « Tout 9 », elle propose pour 27 euros par mois, l’accès Internet haut débit à 1024 Mbit/s et la téléphonie sur IP facturée à 1 centime d’euro par minute pour joindre n’importe quel poste fixe en France. Quant à la télévision sur ADSL, l’opérateur alternatif, qui avait mené l’expérimentation de TF1 avant que ce dernier ne se tourne ensuite vers France Télécom, prévoit un lancement début 2004. Avec quel fournisseur de programmes ? Motus. Cegetel, de son côté, étudierait la question.
Les choses évoluent dans le paysage français des télécoms et le dégroupage progresse. LDCom devrait en effet disposer de 100 000 lignes dégroupées fin 2003 et vise 500 000 lignes pour fin 2004. L’opérateur va ainsi investir 100 M€ supplémentaires dans le dégroupage, portant ainsi ses dépenses dans le domaine à 250 millions d’euros.
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Toshiba remet en cause son modèle économique dans les PC
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Prémonitoire, VIPress.net annonçait hier que les fabricants américains de PC portables creusaient l’écart avec leurs concurrents japonais. Toshiba a eu tôt fait d’en tirer les conclusions en dévoilant un changement de stratégie dans les micro-ordinateurs pour mieux résister à la guerre des prix et sortir du rouge. Le fabricant japonais anticipe en effet une perte nette globale de 25 milliards de yens (environ 190 M€) pour son premier semestre fiscal, contre une prévision initiale de 15 milliards de yens, en raison des difficultés de son activité micro-ordinateurs.
Naguère champion incontestable des PC portables, Toshiba doit subir aujourd’hui les coups de butoir des Américains et de leurs sous-traitants taïwanais. Le fabricant japonais vient donc d’annoncer 500 suppressions de postes dans la division, mais surtout une réduction de 30% du nombre de cartes-mères utilisées dans ses différents modèles et de 20% du nombre de composants à intégrer.
Par ailleurs, Toshiba va renforcer ses moyens de production en Chine et aux Philippines au détriment du Japon. En Chine, sa capacité de production mensuelle va passer de 70 000 à 120 000 pièces ; aux Philippines de 180 000 à 200 000 unités. Les PC configurés à la demande pour le marché occidental ne seront plus assemblés dans les usines de Toshiba en Allemagne et aux Etats-Unis, mais expédiés directement d’Asie. Enfin le recours à des sous-traitants externes devrait d’ici 6 mois concerner 30% de la production totale de PC de Toshiba contre 20% actuellement.
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16,7 millions de produits grand public avec disque dur en 2003 ?
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Le disque dur est de moins en moins réservé à l’informatique. En témoigne l’étude de marché que vient de publier In-Stat/MDR. Le stockage de vidéo ou d’autres contenus multimédia n’est en effet plus l’apanage des PC, mais également des décodeurs, des enregistreurs de DVD, consoles de jeux et autres appareils portables. Ainsi, In-Stat estime que 16,7 millions d’appareils d’électronique de loisirs intégreront un disque dur cette année contre seulement 9,3 millions en 2002. Certes, le marché du grand public ne représentera encore que 7% du marché total des disques durs ; mais la mayonnaise prend. Dans le futur, le disque dur pourrait devenir monnaie courante dans les PDA, téléviseurs ou caméscopes.
Le marché des disques durs pour l’électronique de loisirs devrait ainsi progresser en moyenne de 56,7% par an entre 2002 et 2007. Quant au format, les disques de 3,5 pouces représentent aujourd’hui 92% de ce marché, en raison de leur coût imbattable ; mais les formats plus petits (2,5 pouces ; 1,8 pouce et 1 pouce) devraient monter en puissance.
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65 millions de photophones vendus dans le monde en 2003 ?
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La compétition fait rage sur le marché des téléphones mobiles avec module de capture d’images, que, par commodité, nous nommerons « photophones ». Selon une étude de marché de Strategy Analytics, 25 millions de portables de ce type ont été vendus dans le monde lors du 1er semestre, soit davantage que d’appareils photo numériques (20 millions). La mayonnaise prend rapidement puisque sur l’ensemble de l’année, 65 millions de photophones devraient rejoindre les poches de nos vestons (soit 13% du marché des mobiles). En 2008, ce marché pourrait représenter alors plus de 49 milliards de dollars !
Côté constructeurs, le tableau n’est pas très différent de celui de la photo de classe des mobiles classiques. Au milieu du cliché, Nokia règne en maître avec à ses côtés NEC et Matsushita. Mais les parts de marché évoluent très vite.
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L’industrie automobile allemande veut un standard ouvert pour l’électronique
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BMW, DaimlerChrysler, Volkswagen, Bosch, Continental, Siemens VDO : n’en jetez plus ! Tout le gratin de l’industrie automobile allemande, qu’ils soient constructeurs ou équipementiers, a répondu présent en signant fin septembre un accord pour créer AUTOSAR, AUTomotive Open System Architecture, une alliance industrielle destinée à développer et à promouvoir une architecture ouverte pour l’électronique automobile. AUTOSAR englobe tous les aspects de l’électronique automobile : contrôle moteur, châssis, sécurité, systèmes multimédia, services télématiques et interfaces homme-machine. En standardisant le plus possible l’électronique dans les véhicules, en réutilisant des modules logiciels standards, les membres de l’alliance visent à réduire la facture de l’électronique dans les voitures, afin d’en démocratiser l’usage. |
Altsom cède T&D à Areva pour 950 M€
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Dernière minute : sans surprise, Alstom vient d’annoncer officiellement ce matin la cession de sa division Transmission & Distribution au groupe Areva (maison-mère de FCI) pour 950 millions d’euros. La division, spécialisée dans les équipements électriques moyenne et haute tension, emploie 25 000 personnes pour 3,2 milliards d’euros de chiffre d’affaires. L’activité conversion de puissance de T&D reste chez Alstom. |
LCD -TV : LG.Philips LCD passe devant Sharp
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LG.Philips LCD est passé devant Sharp pour la fourniture d’écrans LCD destinés à des téléviseurs, selon une étude de DisplaySearch. Au deuxième trimestre, le Coréen aurait livré 28,6% du marché des [B]LCD-TV[/B], contre 27,9% pour Sharp, 15,1% pour Samsung, 9,4% par TDM (la société commune entre Toshiba et Matsushita), 7% par Fujitsu et 4,2% par AU Optronics. 861 000 écrans LCD pour téléviseurs ont été livré d’avril à fin juin ; 1,38 million devraient l’être d’ici fin septembre. |
Netgem avertit sur ses résultats
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Netgem, entreprise française spécialisé dans les décodeurs pour la télévision numérique terrestre, publie ce matin un avertissement sur ses résultats du troisième trimestre, qui seront « largement inférieurs aux prévisions initiales ». La baisse significative du niveau des ventes dans les réseaux anglais de distribution directe en est la principale raison. Elle se conjugue aux conditions défavorables des marchés espagnol et allemand. La société estime désormais que ses résultats annuels seront significativement inférieurs aux prévisions annoncées en début d'année. |
La Chine produira plus de 70% des lecteurs DVD en 2003
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Cette année, la Chine devrait produire 60 à 70% des lecteurs [B]DVD[/B] fabriqués dans le monde, nous apprend une étude japonaise de Seed Planning. En 2001, la Chine représentait déjà 50% de la production mondiale de lecteurs DVD, devant la Malaisie (17%) et le Japon (11%), souligne l’étude. |
La télé sur les mobiles bientôt en Europe
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Selon EE Times, le standard européen DVB-H de diffusion de programmes vidéo sur les téléphones portables, devrait être prêt pour la fin de l’année. Connu précédemment sous le nom de DVB-X, ce standard de diffusion s’appuie sur les travaux de la norme DVB-T pour la télévision numérique terrestre qui permet déjà une certaine mobilité, mais est trop gourmande en énergie pour les accumulateurs des mobiles. Nokia est l’un des principaux promoteurs du projet. Au moment où la TV sur ADSL sort des limbes, l’intérêt pour le numérique terrestre fixe semble décliner, mais une version entièrement mobile pourrait s’avérer prometteuse. |
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